Mon manifeste “Confessions d’une chroniqueuse littéraire” est disponible sur Amazon.fr :
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All in Femmes
Histoire d’une femme d’âge mûre qui s’enivre de la jeunesse de son partenaire, contée avec pudeur et profondeur.
Une histoire de passion amoureuse qui a le mérite de la spontanéité et de la sincérité.
Un bon premier roman dans lequel on suit les traces d’une prof de ZEP à la recherche d’un souffle nouveau, au risque de laisser le désir la mettre en danger.
Tanguy Viel est passé maître dans la description des petits engrenages qui mènent aux grandes catastrophes. De la grande littérature.
Un roman trop lisse pour être honnête. Il coche toutes les cases de la bienveillance et de la bienséance et à ce titre (la définition du bonheur), il en devient suspect.
« Quand on ne peut pas avoir, on détruit » et quand il s’agit d’une beauté exotique finie dans un petit village suisse, ça fait des étincelles.
Un roman sans envergure, une énième déclinaison de la femme dépressive en quête d’amour. À médire le Médicis.
C’est en traînant sur les rochers que Lucy trouve le grand amour. Un livre étonnant de fraîcheur et d’audace.
Un roman qui, tout en pudeur, évoque le malheur du peuple iraquien.
Quand une jeune provinciale monte à Paris pour y trouver la liberté. Un premier roman sympathique qui permet de découvrir la vie des bouquinistes.
Pour quelle raison Mathilde a-t-elle pété un plomb ? Réponse dans ce monologue aux allures d’interrogatoire.
Une lettre incandescente à mettre entre toutes les mains des ados.
Les violences conjugales, du point de vue de celui qui frappe. Fascinant par la capacité de l’autrice à se glisser das la peau d’un homme, un peu horripilant par son style.
Une histoire de lesbienne ibérique qui s’empiffre de chocolats Godiva et s’interroge sur la propreté de sa baignoire… Ça démarre en page 65, mais il est trop tard.
Sa mère lui dit : « Les gens t’exploiteront si tu te laisses faire. Surtout toi, une femme noire » Histoire d’une belle résilience.
Derrière chaque sourire d’homme, il y a un pervers narcissique qui attend son heure. Démonstration avec ce roman, noir et poisseux à souhait.
Un roman qui raconte la vie compliquée des femmes en Polygamie. Intéressant pour comprendre le “gap” culturel qui nous sépare d’une partie du monde.
Les printemps arabes ont été confisqués par les islamistes et les militaires. Démonstration avec ce roman puissant, étonnant par sa capacité à parler au nom des femmes..
On peut prétendre qu’on aime un livre qui vous a emmerdé par snobisme. Ce ne sera pas mon cas.
De quoi “fille” est-elle le nom ? Un roman qui tente d’y répondre avec beaucoup de finesse. Une réussite.
