Mon manifeste “Confessions d’une chroniqueuse littéraire” est disponible sur Amazon.fr :
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Une écriture magnifique, une atmosphère envoûtante. Le grand retour de Maylis de Kerangal.
L'envahisseur a les traits du touriste, ambassadeur d'un monde en perdition.
Très beau portrait d'une femme tiraillée entre deux hommes et deux continents.
La célébrité est un monstre que Maud Ventura dissèque avec talent.
Un roman plein de cynisme et d’à-propos dont on peut juste regretter la fin.
Paul Konig a le pouvoir de faire parler les morts. Cela suffira-t-il à le sauver ? Puissant roman noir.
Des hommes marqués par le souvenir de la guerre. Du grand Mauvignier.
Brève histoire d’un homme moins sympathique qu’il n’en a l’air. Par le grand Maurice Pons.
Avec courage et dignité, une mère affronte la mémoire de son fils assassiné par des jihadistes.
Laurent Gaudé nous replonge dans les attentats de Paris. Poignant.
Le Ritz comme théâtre de l’Occupation, entre courage et trahison. Passionnant.
Tanguy Viel regarde la vie par le bout de sa lorgnette. Souvent ennuyeux.
Dans le Berlin de l’entre-deux guerres, le mal et la beauté se confondent. Une petite merveille.
Aux confins de l’Europe, des migrants meurent dans l’indifférence et le grandiose décor des forêts primaires.
Cette fois, Édouard Louis nous parle de sa mère, et c’est un peu ennuyeux.
