Mon manifeste “Confessions d’une chroniqueuse littéraire” est disponible sur Amazon.fr :
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All in Société
Entre fiction et vulgarisation scientifique, une histoire qui souligne les enjeux contemporains d’un continent méconnu : l’océan.
Une réjouissante réflexion autour du petit bourgeois, devenu l’homme moyen, prisonnier du consumérisme.
Un cinquantenaire nostalgique godille dans le marécage intellectuel de son époque. Brillant.
Une manière originale et touchante d’évoquer le déclin des anciens.
L'envahisseur a les traits du touriste, ambassadeur d'un monde en perdition.
La célébrité est un monstre que Maud Ventura dissèque avec talent.
Des hommes marqués par le souvenir de la guerre. Du grand Mauvignier.
Cette fois, Édouard Louis nous parle de sa mère, et c’est un peu ennuyeux.
Une apologie du pognon déguisée en roman feel good. À fuir.
L’Afrique, une expatriée et le champ des impossibles. Très beau texte.
L’excellent Hervé Le Corre s’essaye à la dystopie. Il ne m’a pas convaincue.
Il y a danger quand les cheveux d’argent s’ennuient dans leur cage dorée. Une divertissante dystopie.
Portraits croisés de jeunes urbains échoués sur un rivage de Bretagne. Plutôt réussi.
Un huis-clos en maison de retraite qui m’a ennuyée et déprimée.
Une fable écologique réussie. Passionnant et instructif.
La cavalcade improbable d’une bande de jeunes qui ont pour projet de changer le monde. Immature et vain.
