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All in Humour
Florent Oiseau est un écrivain bourré de talent qui n’a plus d’histoire à raconter. C’est le thème de son livre… Hélas.
Vivre de ses écrits, c’est devenir pauvre. Franck Courtès en fait l’expérience, avec beaucoup d’autodérision.
Examiner notre époque au prisme de Don Quichotte. C’est la grande et belle idée de Lydie Salvayre. Une réussite.
Monologue d’un ancien psy abîmé par ses années de pratique, s’adressant à un autre psy. Quelques bons moments mais lassant, à la longue.
Plus une succession de sketchs qu’un véritable roman. Dommage parce que l’auteur allie deux qualités rares : le sens de l’humour et celui de l’observation.
Les tribulations d’un camé en quête de respect. Sans intérêt.
Voici un exemple de “littérature de confinement” caractérisé par l’ennui qu’il suscite et l’agacement qu’il provoque. On passe.
Dans la lignée du Dictionnaire du Diable d’Ambrose Bierce, voici un ouvrage plein d’esprit et d’humour noir.
Une succession de sketches à la Mr Bean qui ne m’a pas convaincue. Le qualificatif de roman est usurpé.
Une ballade nostalgique à Marseille, dans un Panier gangréné par la gentrification. Alerte et plein de verve stylistique.
Premier roman d’Alex Lutz, plus à l’aise dans le portrait de ses personnages que dans la construction de son récit, bancal comme un radiateur défectueux.
Black Manoo raconte l’histoire d’un dealer en quête de respectabilité. Une belle gallérie de personnages décrite dans une langue réinventée.
Avec pour bagages son imagination et son érudition, l’auteur nous emmène à la découverte d’une société loufoque et révélatrice des maux de notre époque.
Un mélange des genres, entre policier, fantastique et bande dessinée, qui gâte l’originalité de l’intrigue et le choix des personnages. Dommage.
Il paraît qu’Harpo Marx s’est égaré dans l’Ardèche et qu’il n’en a jamais parlé. Portrait attachant d’une célébrité qui trouve dans l’amnésie une liberté inattendue.
Récit ennuyeux d’un serveur de grand restaurant aux prises aux facéties surannées de ses clients. On passe.
Un premier roman qui nous emmène dans les coulisses de la construction d’un film. Plutôt divertissant, au-delà de ses quelques lourdeurs.
Il ne faut pas laisser mamie pourrir (mourir) dans son EPHAD, d’autant qu’elle a des choses à dire. Roman réjouissant.
