Mon manifeste “Confessions d’une chroniqueuse littéraire” est disponible sur Amazon.fr :
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Fabien, devenu Farid, observe avec effarement l’effondrement progressif de sa vie d’enfant. Un livre, juste et poignant, qui pose les bonnes questions.
Sloper est une ordure qui s’occupe des ordures. Un livre dérangeant qui ne convainc pas mais a le mérite de remuer un peu.
Annonces Lelouchiennes et rengaine des amours gays mises à part, c’est un roman plaisant ayant pour cadre mouvant le train de nuit Paris-Briançon.
Éric Vuillard nous relate les atermoiements de la Quatrième République face au soulèvement de l’Indochine et c’est remarquablement bien fait.
David Foenkinos nous a encore tricoté un vilain pull de Noël. À fuir !
En évoquant l’enfance de son héros, Coper, Yoshino Genzaburô tente de répondre aux grandes questions de l’existence. Simpliste et ennuyeux.
Nicolas Chemla nous emmène sur le tournage de Tabou, le dernier film de Murnau. Une plongée dans les mers du sud, entre ombres et lumières. Passionnant.
Derrière chaque migrant, il y une histoire. La raconter, c’est préserver leur dignité. Par le prix Nobel de littérature 2021.
Et si la fondation d’une famille était l’acte le plus radical et le plus courageux de notre époque ? Magnifique roman de Joyce Maynard.
Un discours de basse-cour qui ne répond pas à la question la plus essentielle : qui de l’oeuf ou de la poule a commencé ? Anecdotique.
En rencontrant Madame Hayat, Fazil fait l’apprentissage de l’amour et du danger. Un portrait vibrant de la Turquie contemporaine.
Une fresque familiale qui manque de corps et de souffle.
Une histoire d’aiguilleur en Sibérie qui s’éternise malgré de belles descriptions de la nature hostile.
Examiner notre époque au prisme de Don Quichotte. C’est la grande et belle idée de Lydie Salvayre. Une réussite.
La langue française s’enrichit par multiplication et non par soustraction. Démonstration.
Une fresque magistrale sur les illusions de la démocratie et les ravages de l’ambition.
