Mon manifeste “Confessions d’une chroniqueuse littéraire” est disponible sur Amazon.fr :
https://bit.ly/4axx3TW
L’idée est belle : écrire un roman qui devient le cadre d’une rencontre amoureuse. Malheureusement, l’aventure s’enlise et l’ennui sort vainqueur de cette lecture.
Voici un exemple de “littérature de confinement” caractérisé par l’ennui qu’il suscite et l’agacement qu’il provoque. On passe.
Voilà un roman qui deviendra culte et qui s’appuie sur un postulat réjouissant : la poésie nous sauvera du chaos. Magnifique.
Il n’y a pas plus beau décor que Rome pour se poser des questions existentielles. Roman élégant et savoureux.
Quand les migrants débarquent dans ce petit village de Sardaigne, les cartes sont rebattues. Un conte moderne sur l’altérité.
Un portrait sans complaisance ni manichéisme du plus grand marchand d’armes de tous les temps. Quand un roman biographique est de trempe, je suis preneuse.
Et si la société de consommation était à l’image de l’enfer qui nous attend ? Un conte aux accents dystopiques qui divertit autant qu’il fait réfléchir.
Laura Antonelli avec « son visage d’ange sur un corps de pécheresse », disait Visconti. Un beau portrait construit comme une quête éperdue.
Vendu par l’éditeur comme du “brain porn”, ce livre a peu d’intérêt.
Comment un trauma initial fait d’un homme un animal. Brutal mais diablement puissant. Un beau premier roman.
Dans la lignée du Dictionnaire du Diable d’Ambrose Bierce, voici un ouvrage plein d’esprit et d’humour noir.
Une succession de sketches à la Mr Bean qui ne m’a pas convaincue. Le qualificatif de roman est usurpé.
Sous le tyran Domitien, les sénateurs meurent pour de trop belles paroles. Un roman qui montre que les arcanes du pouvoir n’ont pas changé depuis Rome. Passionnant.
L’inspecteur Jourdan est las de ramasser les cadavres. Hervé Le Corre raconte son errance, sans parvenir à nous passionner.
Gaêlle Josse est une grande écrivaine parce qu’elle suscite des émotions fortes par la révélation de signaux faibles. Nouvelle démonstration avec cette histoire de burn-out.
Une fratrie se déchire au crépuscule de l’existence. Un roman aux accents Houellebecquiens, dans lequel la parenthèse du voyage à Auschwitz m’a laissée perplexe.
Les violences conjugales, du point de vue de celui qui frappe. Fascinant par la capacité de l’autrice à se glisser das la peau d’un homme, un peu horripilant par son style.
Une histoire de malédiction, conjurée par la sagesse indienne d’un père Cherokee. Des personnages bien campés mais un peu répétitif.
Une histoire de lesbienne ibérique qui s’empiffre de chocolats Godiva et s’interroge sur la propreté de sa baignoire… Ça démarre en page 65, mais il est trop tard.
Sa mère lui dit : « Les gens t’exploiteront si tu te laisses faire. Surtout toi, une femme noire » Histoire d’une belle résilience.
