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En s’appuyant sur une jolie coutume napolitaine, Amanda Sthers nous livre un dépliant touristique qui manque d’originalité et de profondeur.
L’histoire de Joe Lampton, le fils de la classe ouvrière qui s’en va conquérir le grand monde de la société bourgeoise industrielle britannique. Moderne et charnel.
Ils ont tous une bonne raison de mettre la main sur la partition présumée du maître Scarlatti. Mais le plus mal intentionné n’est pas celui qu’on croit. Un roman en style de polar dirigé avec maestria.
Le sujet est intéressant (la vie quotidienne des modérateurs des réseaux sociaux) mais il ne suffit pas à faire de ce livre un bon roman
« La rivière pourquoi » interroge la Vie au prisme de la pêche, un art qui conjugue patience et contemplation. Magnifique.
Une histoire de passion amoureuse qui a le mérite de la spontanéité et de la sincérité.
En faisant le portrait de cette société italienne où, dans la violence, chacun se cherchait une mythologie, Marta Barone montre que ce que nous avons gagné en paix, nous l’avons perdu en convictions.
Un classique dont la lecture est perturbée par toutes les adaptations dont il a fait l’objet. À lire en langue originale.
Deux tiers des réfugiés sont des femmes. Daniela est l’une entre elles. Elle a quitté la Roumanie pour Milan à la recherche d’un travail. Poignant, malgré une écriture sans consistance.
Moins connue que Primo Levi, Edith Bruck évoque la difficile reconstruction de l’âme au sortir des camps.
Un voyage intérieur, un roman sur la reconstruction que la pratique du kintsugi résume à merveille.
Une touchante histoire de reconstruction qui met en scène une femme meurtrie par la mort de sa fille et un jeune migrant venu en France pour réinventer sa vie .
Un ethnographe s’intéresse à la France des années soixante. De l’Orientalisme inversé. Une célébration de l’altérité et de la xénophilie.
Passionnante analyse d’une histoire d’amour inlassablement reprise par la littérature et la culture populaire.
Que se passerait-il si nos vies dépendaient d’un algorithme ? Ce serait un désastre. Heureusement, Christian/Christelle/Chris va déjouer les conformismes. Futuriste et lumineux.
Nicolas Mathieu raconte de manière sublime l’ennui commun des mortels. Barde de notre temps, il croque la société provinciale avec tendresse et un brin de nostalgie.
« Je tends à le voir comme mon instrument, je ne suis que son effet”. Magnifique réflexion sur le corps.
Un premier roman qui nous fait découvrir le monde du silence. Intéressant et sincère.
Un iconoclaste fantasque théorise l’accumulation des objets. Après sa mort, le gardien de son musée entretient la flamme, jusqu’à la folie. Déroutant, intéressant, nonobstant la lourdeur du style.
