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Monacal et monocorde. Quand le récit s’embrase enfin, il devient ridicule. Un énième pastiche de l’amour à Venise.
Et si Goya détenait le secret de la vie éternelle ? Un éblouissant roman sur la mort et les chercheurs d’horizons.
Vivre de ses écrits, c’est devenir pauvre. Franck Courtès en fait l’expérience, avec beaucoup d’autodérision.
Les coulisses du mythique échange entre Umberto Eco et Jean-Claude Carrière.
Encore une histoire de couple parisien, encore le milieu de l’édition. Ennui garanti.
Le coeur momifié d’une candidate à la canonisation trouble celle qui l’étudie. Beau sujet, mal exploité.
Une histoire de vagabond bien écrite mais qui tourne court. Dommage.
Rien n’est ni tout noir ni tout blanc, surtout quand il s’agit d’Histoire. Éblouissante démonstration avec ce premier roman.
Une famille d’artistes se déchire à l’occasion d’un vernissage. Décevant.
900 pages pour tourner autour du pot. Une grosse déception.
Une belle fresque familiale sur le thème de ce gène qui se transmet plus souvent qu’on ne le croit : “l’indigence”.
Le vieil homme… et le loup. Une fable nordique pour illustrer la locution latine homo homini lupus est .
Qui aime bien châtie bien. Cyril Huot met le maître italien à l’épreuve de ses contradictions. Passionnant.
Biographie romancée réussie du premier monstre de l’histoire du spectacle : Sarah Bernhardt.
François-Henri Désérable part sur les traces de Nicolas Bouvier, à la rencontre de ces Iraniens en guerre contre le régime. Inspirant et bien écrit.
Un premier roman abracadabrant qui ne fait pas honneur à la maison d’édition qui a décidé de le publier.
