Cher connard

Sous la forme d’un échange épistolaire, Virginie Despentes règle ses comptes avec le patriarcat, les réseaux sociaux, le féminisme et les excès du mouvement MeToo. Éclairant et saoulant à la fois.

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Ils ont tous une bonne raison de mettre la main sur la partition présumée du maître Scarlatti. Mais le plus mal intentionné n’est pas celui qu’on croit. Un roman en style de polar dirigé avec maestria.