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Tanguy Viel regarde la vie par le bout de sa lorgnette. Souvent ennuyeux.
Dans le Berlin de l’entre-deux guerres, le mal et la beauté se confondent. Une petite merveille.
Aux confins de l’Europe, des migrants meurent dans l’indifférence et le grandiose décor des forêts primaires.
Cette fois, Édouard Louis nous parle de sa mère, et c’est un peu ennuyeux.
Une apologie du pognon déguisée en roman feel good. À fuir.
Au crépuscule de sa vie, Paul Auster fait de Baumgartner son dernier ambassadeur.
Sous les traits de l’ogre Albert Vandel, l’Algérie française est contée, dans tous ses excès. Somptueux.
Entre un père cruel et une mère qu’il n’a pas connue, Paul Sorensen se débat avec l’ombre de la mort. Superbe.
Tant de dignité pour parler de cet enfant invalide qui bouleverse la vie de sa famille. Une réussite.
L’Afrique, une expatriée et le champ des impossibles. Très beau texte.
L’excellent Hervé Le Corre s’essaye à la dystopie. Il ne m’a pas convaincue.
Violaine Huisman évoque deux monuments de son histoire familiale : son père et son grand-père. Souvent plaisant, parfois pesant.
