Mon manifeste “Confessions d’une chroniqueuse littéraire” est disponible sur Amazon.fr :
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Portrait sans concession d’une société qui s’est abandonnée à la manie du soupçon. Un peu laborieux.
Pasolini, l’homme qui a tout compris avant tout le monde, nous livre ses impressions de l’Inde. Émouvant et pertinent.
Un homme, une femme, une rencontre improbable. Exaspérant, émouvant, conforme aux exigences du moment.
Un premier roman virtuose qui pose la question suivante : faut-il rajeunir à tout prix ?
Destins croisés des patients d’un hôpital psychiatrique en Israël. Profond et touchant.
Évocation poussive et maladroite d’un étudiant noir et gay paumé dans une université du Midwest.
Le récit émouvant et pudique d’un auteur aux prises avec la schizophrénie de son frère cadet.
Héritière de Barjavel et de Rosny Aîné, Noëlle Michel nous propose un roman d’anticipation réussi sur les thèmes de l’évolution et du progrès.
Une évocation confuse et peu convaincante de la mixité culturelle.
Une évocation courageuse de la fin de vie sexuelle. Parfois dérangeant, souvent touchant.
Une magnifique déclaration d’amitié et une passionnante plongée dans le milieu littéraire italien.
Jérôme Garcin raconte comment la maladie et la mort ont touché sa famille. Bien écrit à défaut d’être original.
Un paquebot traverse l’Atlantique avec à son bord une commandante et sa vingtaine de marins. Onirique et allégorique.
Jean-Luc et Jean-Claude ont une case en moins. Pas facile sur l’échiquier de la société. Un bon premier roman.
Un sujet de roman qui méritait mieux que ce traitement approximatif et faussement pudique. Décevant.
